Chrysalide de verre

Dystopie : La nature à force de catastrophes et d’épidémies retrouve son équilibre et pousse l’humanité vers l’aire du rétrocène sonnant le glas de l’anthropocène marqué de deux siècles d’épuisement des ressources. les cicatrices sont irréversibles, la nature bien que résiliante doit faire avec ce qui lui reste, ce qu’on lui a laissé, un tas de déchets inertes non bio-dégradables. Elle se réinvente, à force de ne plus pouvoir bio-dégrader, elle bio-assimile, de nouvelles espèces naissent de nos déchets. Cette Chrysalide de verre en est un témoin flagrant, les écailles molles formées de pare-brises délaissés sont réapropriés et créent un cocon lumineux, protecteur, contre éléments déchaînés, propice à la renaissance.